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The Occupation We Choose to Ignore’

Do you know who I am? I am a Sahrawi. The land to which I refer is what is known today as the non-self-governing territory ofWestern Sahara. My country was colonized by the Spanish and the French between 1884 and 1975, divided in two and occupied by Moroccan and Mauritanian forces thereafter, and has been ruled exclusively by the Kingdom of Morocco from 1979 until the present.

The Western Sahara: forgotten first source of the Arab Spring

this is one part of the Arab Spring that western governments don't want to talk about. And their silence, and the UN's complicity in it, is why that repression continues, and a terrible injustice is perpetuated.

ISS - News - The Western Sahara and North African People’s Power

Respect the right of individuals to peacefully express their opinions regarding the status and future of the Western Sahara and to document violations of human rights

King of Morocco to be biggest benefactor of EU trade agreement - Telegraph

it has emerged that the single biggest beneficiary of the deal will be the King of Morocco, who is head of one of the three largest agricultural producers in the north African country and lays claim to 12,000 hectares of the nation's most fertile farmland.

North African Dispatches Africa’s Forgotten Colony

Oblivion it seems is the current reality for the arid North African territory of Western Sahara; often referred to as Africa’s ‘Last Colony’. In my opinion, it would be more accurate to describe it as ‘Africa’s Forgotten Colony’.

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Apr 16, 2012

Rassemblement à Londres contre les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental - APS : Algérie Presse Service

LONDRES - Des militants de la Western Sahara Campaign ont organisé samedi un rassemblement devant l’Ambassade de France à Londres, pour protester contre la position de la France à l’égard de la poursuite des violations des droits de l’homme au Sahara Occidental.
Dans une lettre remise à l’ambassadeur de France au Royaume-Uni, ils ont demandé notamment l’extension du mandat de la Minurso (Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental) à la surveillance des droits de l’homme dans la région.
"Aujourd’hui nous manifestons devant le siège de l’Ambassade de France parce que les forces marocaines continuent de violer systématiquement les droits du peuple sahraoui, a travers la violence, la persécution, l’emprisonnement et les jugements illégaux en réponse aux actions pacifiques des Sahraouis en lutte pour leur indépendance", a déclaré à l’APS, Judith Harrison, responsable de l’Organisation.
"Plus particulièrement, nous dénonçons l’entêtement de la France, soit disant un pays respectant les droits de l’homme+ dans le blocage du processus de mise en place d’un organe chargé de la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental", a-t-elle ajouté.
"En étant complice avec le Maroc dans les crimes commis à l’encontre du peuple sahraoui, la France fait fi et se moque même, des principes de +liberté, égalité et fraternité+ qui sont censés être ses principes fondamentaux", principes dont elle se prévaut lorsqu’il s’agit de légitimer ses interventions à l’étranger", a encore ajouté cette militante.
Le responsable du front Polisario au Royaume-Uni, Lamine Baali a précisé que cette action s’inscrivait dans le cadre d’une action internationale visant à condamner la position de la France au sein du Conseil de sécurité des Nations unies, en prévision de l’examen, mardi prochain, par l’organe de décision de l’ONU du rapport du Secrétaire général des Nations unies sur le Sahara occidental.
Des rassemblements similaires ont été organisés samedi à travers plusieurs capitales dont Madrid, Paris, Oslo, Stockholm, Washington et dans les camps des réfugiés, a-t-il souligné.
La lettre remise à l’Ambassade de France souligne que les violations des droits de l’homme perpétrés par le Maroc au Sahara Occidental ont été mises en relief par plusieurs organisations humanitaires reconnues telles Amnesty Internationale, Human Rights Watch et la Fondation Robert Kennedy. Les rapports de ces Organisations mentionnent notamment la répression qui s’est abattue sur le camp de Gdeim Izik faisant trois morts, lit-on dans la lettre remise par Western Sahara Campaign à l’ambassade de France et dont l’APS a eu une copie.
"Nous exigeons de la France qu’elle respecte ses engagements vis-à-vis des lois internationales au lieu de suivre la politique du Conseil de sécurité de l’ONU consistant à fermer les yeux sur les injustices subies au quotidien par le peuple sahraoui".
Les principales responsabilités de la Minurso, écrit encore Western Sahara Campaign, comportent notamment l’organisation d’un référendum pour l’autodétermination du peuple sahraoui et le respect du cessez le feu signé en 1991 par le Maroc et le Polisario. Or, explique l’Organisation,"l’absence des libertés civiles dans les territoires occupés rend impossible la réalisation de ces deux objectifs".
Sans la protection des droits de l’homme, le cessez le feu est un "trompe l’oeil" n’offrant aucune garantie de paix et de sécurité dans la région, ajoute le document. "Etant considéré le non-respect de l’ONU de ses engagements et l’inefficacité de son action sur le terrain, nous demandons une solution diplomatique pour régler ce conflit vieux de 36 ans", conclut Western Sahara Campaign, soulignant sa détermination à poursuivre la lutte jusqu’à l’organisation d’un référendum sur l’autodétermination du peuple sahraoui.


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